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Articles

Affichage des articles du 2017

2017, tu me manqueras ! 2018, viens par ici...

Eh oui, il est déjà l'heure de parler de cette nouvelle année écoulée avec vous.  Et quelle année, mazette !  En y regardant de plus près, elle a été très clairement scindée en deux. Le premier semestre a été jalonné de publications et de rencontres, alors que le second a été plus solitaire, enfin de mon point de vue. Mais est-ce réellement une mauvaise chose ? Retour sur 2017  Un premier semestre loin de l'écriture Il faut avoir conscience qu'en publiant ces textes, que ce soit avec une maison d'édition ou en tant qu'indépendant, un auteur a deux côtés à gérer : l'un étant l'écriture et l'autre comprenant les relations avec les lecteurs. C'est normal, il ne faut pas se plaindre et accepter les deux. Cette année, mon premier semestre a été essentiellement tourné vers mes sorties et les rencontres avec des lecteurs. Ne nous voilons pas la face, même si quitter mon clavier était un mal pour un bien, il m'a beaucoup manqué

Les essuie-glaces, madame !

En cette période de grisaille, je me devais de vous parler de pluie, de froid... et d'Écossais. Oh et que j'ai deux supers maisons d'édition qui m'abreuvent en lecture. You rock, guys ! Reprenons, je venais vous parler de l'homme qui a fait battre mon cœur la semaine dernière (ne le dites pas à Grand Chef, hein !) . Cela faisait bien longtemps qu'une romance ne m'avait pas transportée à ce point.  Voici le résumé, histoire que vous sachiez de quoi cause ce petit bijou : Alicia a vingt-six ans, un enfant (Samuel), des diplômes par-dessus la tête, pas de mec, un joli minois et une vie d'octogénaire. Elle travaille pour Lexitrad, une agence de traduction. Sur un coup de tête, elle décide de partir avec son fils en Écosse pour quelque temps. Mais l'aventure risque fort de tourner au vinaigre, entre pannes de voitures, client insupportable, Écossais à la tête dure et voisins qui décident de se mêler de ses affaires... Une romance

Petit article de pré-rentrée

Me revoici-ci après un été très studieux ! (non, je n'ai pas préparé mes cours) (oui, le mois de septembre va être sportif)   Mais sur quoi ai-je donc travaillé alors ?    Essentiellement sur trois choses : La première étant de m'occuper des deux princesses. Nous sommes sorties au parc, à la mer, à la piscine... les trucs normaux me direz-vous. Comme pendant l'année, je les vois finalement très peu en dehors des vacances, nous avons rattrapé le temps, les activités et les câlins.   La deuxième consistait en une tonne de corrections, de discussions autour de Jo.  Cet editing a été intense, d'autant plus qu'il y aura une suite, Samia. Donc vous vous doutez que si je parle de ça, c'est que j'aurais bientôt plein de choses à vous raconter à ce sujet...  Mais d'ici là, patience !   Et la troisième était d'écrire le tome deux de Petits dérapages. Cela m'a tenu tout le mois de juillet et m'a permis de voyager de

Sur la route... sous la pluie.

  Je vous en parlais dans un précédent article, l'idée de Fanny ( Sextoys et bulles de savon ) m'est venue lors d'une conversation folle ( pour les plus mauvaises langues, oui, il m'arrive d'être sérieuse... des fois ). Cette héroïne a pris vie sous les rires la bonne humeur avec l'envie d'avoir une femme qui ne suive pas les codes habituels ( elle a même légèrement échappé à mon contrôle... ) et qui se retrouve chamboulée face à son exact opposé. Mais durant cette conversation, ce que vous en savez pas encore, c'est que d'autres personnages sont nés. Certains sont encore au stade larvaire et ne verront peut-être jamais le jour, mais Suzie a eu la chance de prendre vie ( et de rencontrer la Bête ). La seule inconnue était : Pourquoi se rencontreraient-ils ?  Et là, c'est ni plus ni moins que la météo qui m'a aidée : les inondations qui ont (un peu) bloqué le pays en 2016, rendant l'A10 impraticable.

Aveu #3

Je sais faire autre chose qu'écrire, lire et travailler (je dors aussi, je mange...) En flânant un soir sur mon ami Face de bouc, j'ai vu une vidéo sympathique pour faire une cabane avec des journaux. L'idée m'a trainé longtemps dans la tête avant que je ne décide de m'y attaquer. Phase 1 : Razzia au lycée On reçoit trois exemplaires du journal local (ouest-france) et seul un est archivé, les autres sont tout simplement jetés ou utilisés par les élèves d'une filière. Très bien, je vais voir la prof doc, lui fais un grand sourire et récupère un carton plus lourd que Princesse Bubulle. Phase 2 : Motivation Il faut dire que la première partie du montage est des plus rasoir (avec le recul, elles y sont toutes), il faut rouler des feuilles ensemble. Je me cale devant le replay de The Island et pendant qu'ils cherchent à avoir le feu, je produis les 45 rouleaux nécessaires à la suite. Chacun son challenge, j'ai pas besoin de chasser la noix de coco

Nom d'un canard !

Eh oui, il était grand temps de vous en parler, demain Fanny débarque dans tous les bons sex-shops ! Euh non ! dans toutes les librairies ! Ce qu'il faut savoir sur Sextoys et bulles de savon : L'idée de base vient d'un délire avec une chroniqueuse qui est devenue depuis une de mes bêtas-lectrices (entre autre). Nous faisions gentiment connaissance quand la conversation a dérapé (et comme tout le monde le sait, je suis un ange donc le dérapage ne vient pas de mon côté) Il a fallut attendre quasiment six mois pour que je me dise "et pourquoi pas faire réellement une histoire avec elle?", et un an entre mon envoi à Diva et l'arrivée entre vos mains. À la base, Fanny devait être une vendeuse dans un sex-shop placé dans un village alsacien et qui aurait régulièrement des plaintes pour son comportement... Et puis j'ai commencé à écrire et, comme d'habitude, j'ai un peu... dérapé (oui, j'aime ce mot, mais que voulez-vous je suis en

Salon du livre, épisode 4 : la suite (mais pas la fin)

Pour toute histoire, il faut une conclusion. Pour ces épisodes, aussi... Même s'il n'a jamais été cité, Grand Chef a assuré comme une bête. Il a géré les monstres avec brio, m'a écouté raconter mes journées sans râler (enfin en supposant qu'il m'écoutait réellement, difficile à dire au téléphone) et m'a bichonnée à mon retour à la maison. Il est à noter que je suis finalement biologiquement apte à écrire une nouvelle.  J'en ai longtemps douté, c'est maintenant sûr : je le peux ! C'est juste que je dois lutter contre ma nature... J'ai fait de magnifiques rencontres, et je ne doute pas d'en faire encore cette année et les suivantes que ce soit sur Internet ou dans la "vraie vie". Tout d'abord les nouveaux auteures HQN qui, malgré leur nervosité, se sont vite intégrées, et puis les blogueuses avec leurs sourires communicatifs et les dossiers qu'elles ont sur nous. Les plumes d'Harlequin forment un group

Salon du livre, épisode 3 : Les dédicaces

Le point culminant de ce week-end de folie à Paris : les dédicaces. Des rencontres inattendues Suzie est une héroïne qui n'a pas froid aux yeux. Elle est moderne et fait tout pour avoir ce qu'elle veut. Jusque là, vous me direz que c'est comme d'habitude (ou presque).  Seulement quand une femme d'un certain âge et très BCBG m'a demandé une dédicace, j'ai soudain eu des suées. Qu'allait-elle penser de la scène des porte-jarretelles ? (j'rigole, cette scène est dans Louise ! J'allais pas vous spoiler ! Mais disons juste que la scène de la douche de Louise et Francis est très... soft). Ma dédicace est donc restée très sobre, peut-être trop, mais que voulez-vous, j'étais impressionnée ! Dans les surprises, il y a eu la visite éclair de Gilles Milo-Vaceri . À peine une bise, la promesse de se retrouver plus tard, et hop il avait disparu. Il faut dire que notre heure de dédicace s'est prolongée tant vous étiez nombreuses (e

Salon du livre, épisode 2 : les rencontres

Il n'y a pas à dire, Livre Paris est un formidable espace de rencontres. Et plus encore... Vendredi soir, dans le fin fond d'un bar... Après une "petite" journée au lycée, j'ai filé prendre mon train. Seulement loin de retourner chez moi, j'ai pris la direction opposée : Paris me voilà !  Dire que j'étais carpette-balayette serait un euphémisme. Avec mon réveil aux aurores et des élèves survitaminés et excités comme des puces sous amphétamines, j'étais plus proche du zombie que de la "jeune" femme dynamique et conquérante. Mais je n'ai rien lâché et j'ai filé à la soirée HQN pour retrouver les autres plumes avec la perspective de ne pas partir tard, 23h grand maximum...  Bon alors autant l'avouer tout de suite, chez moi, ce genre de résolution est comme le nombre de signes espaces comprises : c'est juste pour info et bien souvent (toujours) dépassé. À ma décharge, on habite tous très loin les uns

Salon du livre, épisode 1 : Une nouvelle ? Moi ?

Tous les ans, le Salon du livre est un incontournable pour ma petite personne, en tant que lectrice compulsive et obsédée par tout ce qui peut naître de l'imagination de quelqu'un. Seulement cette année, il avait une saveur toute particulière... Et avant d'en venir à ma première séance de dédicaces en ce lieu mythique, je me dois de remonter un peu en arrière. (Je vous rassure, je ne suis pas partie pour vous faire ma biographie, même si je ne doute pas de votre intérêt pour ma petite personne... Mouais, enfin bref) Cet été, j'étais tranquillement en train de lire / écrire (accessoirement de m'occuper de mes monstres) quand j'ai reçu LE mail : Sophie avait pensé à moi pour le recueil. J'avais deux mois pour écrire un texte de 100 000 signes espaces comprises (SEC). Que l'on soit bien d'accord, le problème était le 100 000 SEC. Parce que le thème "les opposés s'attirent" concordait avec pas mal de mes idées, les deux m

Prix Diva Romance

Ça y est... j'ai voté ! Pour l'événement, j'avais préparé tout un tas de critères sur lesquels baser mon vote : fluidité, rebondissements... J'avais cru tout prendre en compte dans un tableau excel (Oui, mon côté scientifique rigoureux est assez utile dans ces cas-là.) Seulement un livre est dur à cataloguer. Parce que ça dépend de votre humeur du moment, votre fatigue, vos envies... Et l'expérience m'a permis de réaliser à quel point le travail des comités de lecture pouvait être difficile. Mais j'ai réussi. Félicitations aux trois finalistes, j'ai passé un excellent moment avec vos personnages. Quant à ceux que je n'ai pas lu, rappelez-vous que Petits dérapages n'a pas gagné non plus...



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