Barbara Katts est depuis toujours une amoureuse des livres. Élève studieuse, elle lisait tous les ouvrages qui lui tombaient entre les mains et ne se déplaçait jamais sans un bon roman dans son sac. C’est donc tout naturellement qu’elle a commencé à écrire les mots qui lui trottaient dans la tête. D’abord sous forme de pensées et de poèmes, puis de nouvelles et de romans. Aujourd’hui, Barbara consacre énormément de temps à sa passion pour l’écriture et éprouve toujours plus de satisfaction à faire vivre des personnages aussi attachants qu’éclectiques.
✘ Travail à côté
☐ Entièrement dévouée à l’écriture
Dernières publications
Les liens de l’enfer (chez Numériklivres) : c’est un polar agrémenté de quelques scènes érotiques.
Libido 2.0 : le livre bleu et le livre rouge (auto édition papier de Petites histoires et grands plaisirs et Attraction immédiate publiés en numérique chez Harlequin HQN, avec une nouvelle inédite en prime ) : ce sont deux recueils de nouvelles érotiques.
Relirais-tu ton premier roman / première nouvelle ?
Je ne relis jamais mes propres textes une fois qu’ils ont été publiés. Je suis entièrement tournée vers ce que je fais ou ce que j’ai à faire.
L’écriture au quotidien
Décrivez-nous comment vous aimeriez écrire (rythme, journée type…)
C’est très irrégulier. Je peux travailler plusieurs jours d’affilé puis ne rien écrire pendant une semaine. Mais en général je suis toujours en train de cogiter sur mes projets en cours ou à venir.
La réalité c’est qu’une journée ne fait que 24 heures, que j’aime pratiquer un tas d’activités qui n’ont rien à voir avec l’écriture, notamment le sport, et que je suis obligée de faire des choix dans mon emploi du temps.
J’aime avant tout l’idée. J’en ai des tas, elles aboutissent ou non à des histoires. Parfois c’est juste un synopsis que je mémorise sur mon ordi et que je retrouve quelques années après en faisant du rangement dans mes dossiers (si si ).
Une fois le projet lancé, j’aime y réfléchir, tout le temps. J’y pense tellement que j’ai souvent toute la trame en tête alors que je n’ai encore rien écrit. Je rêve d’une technique de transposition instantanée de la pensée à la mémoire de mon ordinateur, je gagnerais un temps fou.
Réalité
La réalité c’est qu’une journée ne fait que 24 heures, que j’aime pratiquer un tas d’activités qui n’ont rien à voir avec l’écriture, notamment le sport, et que je suis obligée de faire des choix dans mon emploi du temps.
Votre partie préférée
J’aime avant tout l’idée. J’en ai des tas, elles aboutissent ou non à des histoires. Parfois c’est juste un synopsis que je mémorise sur mon ordi et que je retrouve quelques années après en faisant du rangement dans mes dossiers (si si ).
Une fois le projet lancé, j’aime y réfléchir, tout le temps. J’y pense tellement que j’ai souvent toute la trame en tête alors que je n’ai encore rien écrit. Je rêve d’une technique de transposition instantanée de la pensée à la mémoire de mon ordinateur, je gagnerais un temps fou.
Votre technique de relecture/correction
Je me relis à haute voix. Ça m’évite de lire ce que mon cerveau a automatiquement corrigé (les coquilles, les répétitions, les mots manquants). Pourtant il y en a toujours qui passent au travers des mailles du filet. L’idéal est d’avoir une tierce personne pour relire, mais c’est un travail fastidieux que je n’ose pas toujours demander.
Anecdote liée à l’écriture.
C’est la première fois que l’un de mes textes a été validé par un éditeur. Il s’agissait de « Une si douce illusion » publié chez Harlequin HQN.
Pour moi, signer mon premier contrat d’édition a été une joie profonde, d’autant que les encouragements de la part de mon entourage avaient été assez minces.
Merci Barbara !
Pour moi, signer mon premier contrat d’édition a été une joie profonde, d’autant que les encouragements de la part de mon entourage avaient été assez minces.
Merci Barbara !
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