Aujourd'hui, je vous présente : Selena Dubh.
✘ Travail à côté : oui, je travaille dans un Musée d’art et d’histoire en tant qu’assistante de direction. C’est un boulot très varié, bien loin de l’idée que l’on se fait d’un secrétariat classique. Participer à l’élaboration d’expositions, préparer des animations originales pour les journées portes ouvertes, relire des articles de catalogues, agrémentent le côté plus classique de la profession.
☐ Entièrement dévouée à l’écriture
Comment as-tu commencé à écrire ?
J’écris depuis que je suis en âge de le faire. J’ai toujours aimé la musique des mots et le plaisir de les partager. En plus je suis de la génération où on envoyait encore des lettres. J’en ai écrit pas mal… Mais en plus du plaisir d’inventer des histoires et de les partager, l’écriture est aussi un moyen de « décharger » des émotions, « exociser » des moments difficiles..
Dernières publications
Je n’ai pour l’instant publié qu’une nouvelle chez Something Else Edition, dans la collection « Blunt » qui a pour titre Résurrection.
Mais j’ai en cours un projet qui si tout se passe bien devrait sortir en octobre et deux autres romans en cours d’écriture.
Relirais-tu ton premier roman / première nouvelle ?
Pourquoi pas ?
L’écriture au quotidien
Décris-nous comment tu aimerais écrire (rythme, journée type…)
Je rêverais d’avoir une jolie maison dans la campagne bretonne ou dans le sud, avec une pièce dédiée à l’écriture profitant d’une belle vue sur un jardin fleuri ou un bois et que les mots coulent sans efforts. Je travaillerais alors en profitant de la vue deux heures en matinées et un peu plus l’après-midi, avant d’aller faire une petite balade en fin de journée pour me détendre.
coin bureau où, devant mon clavier et si l’inspiration vient, je suis partie, je dirais presque en mode automatique.
Et comme tout le monde, je suis souvent rattrapée par le quotidien. Le facteur qui sonne à la porte au beau milieu d’une scène cruciale, les chats qui s’installent sur le clavier, le repas à préparer sont autant d’obstacles à surmonter…
J’ai par contre la chance de travailler avec une éditrice qui ne me presse pas, je peux donc avancer à mon rythme et c’est un véritable luxe.
Ma partie préférée c’est quand je pense avoir réussi à faire passer l’émotion, le sentiment que je veux mettre dans une scène.
Malheureusement la réalité
coin bureau où, devant mon clavier et si l’inspiration vient, je suis partie, je dirais presque en mode automatique.
Et comme tout le monde, je suis souvent rattrapée par le quotidien. Le facteur qui sonne à la porte au beau milieu d’une scène cruciale, les chats qui s’installent sur le clavier, le repas à préparer sont autant d’obstacles à surmonter…
J’ai par contre la chance de travailler avec une éditrice qui ne me presse pas, je peux donc avancer à mon rythme et c’est un véritable luxe.
Votre partie préférée
Ma partie préférée c’est quand je pense avoir réussi à faire passer l’émotion, le sentiment que je veux mettre dans une scène.
Votre technique de relecture/correction
Je fais appel à l’équipe ! J’ai quelques personnes de confiances qui font office de beta-lecteurs et repèrent les incohérences, les précisions à apporter, les passages à retravailler. Pour le reste, je reprends encore et encore le manuscrit pour traquer un maximum de coquille. J’utilise également le correcteur Antidote qui est assez performant même si ça reste un programme pas tout à fait infaillible.
Anecdote liée à l’écriture.
Merci Selena, et on croise les doigts pour que tes projets se concrétisent !
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